poemes

Voila je remets l'adresse de mon autre page web de poèmes. Ca fait très longtemps que jai pas écrit dessus mais je vais m'y remettre. Parce que j'avais des problèmes d'accès mais plus maintenant et je suis plus lue la bas qu'ici donc...voili voilou...alors...

Seule dans la nuitOubliée par la fouleElle se glissa dans son litAvant que s'écroule [...]Blottie contre luiLa chaleur de sa peauLe rythme de sa vieIl fait doux il fait chaud

Longue allée orangée,Bordée de pourpre et violetTant de fois je t'ai empruntée,Toi qui menais au champ de blé.Quelle époque merveilleuse,Où on rentrait les pieds nus,rêveuses,Ramassant des pissenlits.Elle est finit, la belle vie.

Un peu de rose dans tes yeuxOuvre ton coeur aux autresA ceux qui te tendent la main,A ceux qui sont toujours là.Profite de cet instant rarePour leur dire qu'ils comptent pour toi,Ne lâchent pas ces mains,Il fait si froid seule parfois.

Croisons nous et ne nous râtons pas. Je ne sais pas si ce ne sera pas la dernière fois. J'aimerai tellement retrouver tes bras Peut ètre une dernière, mais au moins encore une fois

Je pensais qu'il était facile de fermer les yeux, Pourtant j'ai toujours, du noir, une peur bleue. Je croyais qu'il était facile de dire au revoir, Pourtant je ne trouve pas les mots ce soir. Je trouvais que dire adieu était une formalité, Pourtant j'ai...

Je ne comprends pas... Un manque de nous , un manque de toi.. J'écoute cette musique sans cesse... Ce mal à chaque instant progresse. Je ne fais rien, j'attends, je reste la... Il suffirait que je te prenne dans mes bras. Je suis si bien quand je suis...

N’accepte jamais cette première cigarette De peur que les autres te rejettent. Ne commence pas à fumer, Ne réduis pas ta vie de moitié: Parce que fumer tue. Ne me dis pas que tu ne l’as jamais vu ! Sur le paquet qu’on t’a tendu, En gros, en gras, c’est...

Tu as faillit mourir ce soir... Avant,tu n'avais jamais imaginé combien le désespoir Pouvait en un instant t'envahir Et tes rêves à jamais anéantir. Tu as vu les larmes couler le long de ses joues, Tu as compris que ce ne serait plus jamais pareil entre...